|
Le second tome de la trilogie présente la confession de Mathieu Arbour, l’aveugle qui a tout vu, détenteur d’une vérité que personne, Simon Godin moins que quiconque, n’avait soupçonnée. |
|
||
Mon existence n'a véritablement commencé que lorsque Luc a disparu. Me mettre à sa recherche, remuer tout ce réel, refuser cet arbitraire encombré de sa soudaine absence; cela ne devenait-il pas fatalement ma mission? J'avais un but, une direction, une quête; il me fallait retrouver Luc. |
||||
Acheter ce
livre |
||||
Serge Lamothe se révèle un jeune romancier en pleine possession de ses moyens, manifestement capable de toutes les audaces dont une, qui compte parmi les moins répandues et les plus appréciables : la sobriété stylistique. Aussi est-il permis de voir en ce faux polar une manière de glace sans tain derrière laquelle se cache (mais si peu!), un écrivain, un vrai et diablement talentueux!
Stanley Péan L’écriture de Serge Lamothe est envoûtante (…) ; on tombe sous le charme du ton incantatoire de certains passages, de la poésie de la langue, des images évocatrices. Si la force de l’auteur, depuis La longue portée (1998), réside dans les rebondissements rares mais spectaculaires, (…) elle est surtout dans la capacité de rendre transparents les personnages, leur misère, leur pouvoir, leur humanité. Pour cela, le dépouillement et la simplicité sont les meilleurs alliés d’un écrivain.
Pascale Navarro |
||||
Si vous ne voyez pas de barre de menu |
|